Il existe sur le marché trois types de peintures murales : la peinture glycérophtalique, la peinture acrylique et la peinture spécifique. Chacune se décline en plus en trois finitions : brillante, mate et satinée.
La combinaison de ces deux paramètres (composition chimique et finition) va déterminer le choix et l’aspect final, sachant que ce dernier dépend aussi de l’état et de la surface du matériau à recouvrir. Voyons tout ceci plus en détails…
Cependant elle contient des quantités importantes de solvants et dégage de fortes odeurs. Et elle est plus longue à sécher. A noter que l’huile de lin est le liant permettant de souder les pigments et les sels contenus dans cette peinture. Mais cette huile tend à disparaître pour être remplacée par de la résine synthétique.
Pour des raisons de normes, d’hygiène et d’écologie, la peinture acrylique en phase aqueuse est la plus abondamment et la plus facilement trouvée dans le commerce, d’autant plus qu’elle est la moins chère. Par contre, même si elle se nettoie à l’eau, elle ne peut pas être lessivée et sa résistance aux produits ménagers est plus faible que la précédente peinture.
Le bois a besoin d’un traitement contre les agressions extérieures d’ordre climatique (intempéries, rayons UV…) et d’ordre biologique (insectes, bactéries…). Pour son embellissement, des lasures seront appliquées. Les escaliers par exemple seront donc repeints avec des peintures différentes. Les artisans peintres utilisent aussi les peintures spécifiques pour obtenir des résultats comme du faux bois, du faux marbre ou des trompes l’œil.
La peinture brillante reflète la lumière et s’avère très facile à nettoyer. Elle convient très bien à la cuisine ou à la salle de bain. Mais il faut savoir qu’elle fait ressortir les imperfections du mur. Il faut donc préparer ce dernier pour son application (lissage). La peinture satinée est un bon compromis entre les deux précédentes. Elle reflète bien la lumière et convient très bien aux chambres.